Pas évident de raconter la Carte Blanche à Anne Imhof au Palais de Tokyo, tant on est dans l’expérience plus que dans la contemplation.
Dans l’architecture brute du Palais de Tokyo, on est immergé dans un dédale dans lequel on découvre les peintures d’Anne Imhof, on reconnaît les pièces d’autres artistes invités (de très beaux choix : Mike Kelley, Wolfgang Tillmans,…), on est dans le street art et dans l’installation, on est en tout cas ailleurs que dans le XVIe arrondissement, on se perd dans la contemplation et dans nos pensées puis on est embarqués par le lancement de dispositifs sonores toujours pertinents, perturbants.
Ce sont parfois des cordes mélancoliques, parfois du noise mélodique. Ces compositions sont signés Eliza Douglas, autre découverte majeure de cette exposition, pour moi, avec Anne Imhof bien entendu, que, je dois bien l’avouer, je ne connaissais pas.
C’est en tout cas bluffant, à tous points de vue.
Comme je pense que ni ces quelques phrases ni les photos ici ne vous éclaireront totalement sur l’exposition, je ne peux que vous dire : allez-y.
@nicolastochet Carte blanche à Anne Imhof – Palais de Tokyo – #installation #expo #artcontemporain #contemporaryart #anneimhof #elizadouglas #palaisdetokyo
♬ son original – Nicolas Tochet
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